Synopsis et détails
New York, été 1994. Giuliani vient d'être élu et la ville vibre au son du Hip Hop. C'en est fini des cours. Dealer d'herbe officiel du lycée, Luke se sent hors-cadre. Pas de potes, puceau, des parents endettés et l'université au bout des vacances. De sa rencontre avec un psy, le docteur Squires, Luke a dealé de l'herbe contre des séances. Le docteur lui s'ennuie dans sa vie, son mariage s'effiloche, ses clients se raréfient et le temps passe trop vite (pour lui). Eviter l'effondrement, se sentir vivant, faire l'amour, gérer son blues, vendre son herbe, Luke Shapiro et le Dr Squires vont traverser l'été et la ville à la recherche d'aventures, de filles et d'un sens à leur vie.
The Wackness
Distributeur Bac Films
Récompenses 3 nominations
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Année de production 2008
Date de sortie DVD 05/05/2009
Date de sortie Blu-ray -
Date de sortie VOD 25/03/2015
Type de film Long-métrage
Secrets de tournage 4 anecdotes
Budget 20 000 000 $
Format production 35 mm
Format audio Dolby numérique
Format de projection 2.35. 1 Cinemascope
N° de Visa 121469
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Wackness Bande-annonce VO
Interviews, making-of et extraits
Wackness Extrait vidéo VO
Wackness Extrait vidéo (2) VO
Wackness Extrait vidéo (3) VO
Acteurs et actrices
Rôle. Dr. Squires
Rôle. Kristin Squires
Rôle. Luke Shapiro
Critiques Presse
Le Journal du Dimanche
Critiques Spectateurs
Critique positive la plus utile
par Nathan V. le 02/05/2015
une histoire que l'on pourrait croire classique, voir meme banale, mais tellement bien racontée. la realisation est superbe. Lire la suite
Critique négative la plus utile
par Truman. le 04/09/2013
The Wackness aborde ce qui a deja été abordé plus d'une fois sur grand écran, l'amour, la dépression, la recherche du sens. Lire la suite
Toutes les critiques spectateurs
Deuxième essai
The Wackness est le deuxième film réalisé par Jonathan Levine, après Tous les garçons aiment Mandy Lane. Nommé dans deux catégories au Sundance Film Festival, The Wackness remporte le prix du public en 2008.
Un réalisateur fan de Hip-Hop
Jonathan Levine, le rélaisateur s'identifie à son héros Luke: "J'ai obtenu mon diplôme de fin d'études secondaires à l'été 1994, tout comme Luke Shapiro dans WACKNESS - mais moi, je n'ai jamais vendu d'herbe, je le jure. - 1994 était une année charnière pour New York. Et le hip-hop était en pleine évolution créative. Je suppose que j'étais moi aussi à un tournant de ma vie. j'ai tout de suite été accro à cette musique et elle ne m'a plus j. Lire plus
Un passé pas si lointain
Pour le réalisateur, il est important d'éclairer notre passé par des références au passé: "Le rap, comme New York, était complètement différent en 1994. C'est ce qui m'intéressait et c'est pour ça que mon film se déroule il y a quatorze ans, en soulignant les similitudes et les différences d'avec maintenant. Quand on prend conscience de ce passé pas si lointain, on comprend mieux le présent. Comme l'a dit Ghostface Killah à l'époque, "s. Lire plus
4 Secrets de tournage
Dernières news
NEWS - Box Office
La bande son de ce film est envoutante, on se laisse porter par ce film tel un été en ville ou le temps parait long et agréable.
Les acteurs sont bien dans leurs rôles, ils nous embarquent dans leurs délires.
Un film un peu décalé qui reflète une autre époque, pas si lointaine, attention nostalgie..
3/4 me parait le minimum pour cette ballade que je referais volontiers une seconde fois.
cette sensation du temps en apesanteur de l'été urbain ; ou règne sur la ville vidée d'une partie de ces occupants un étrange et inhabituel calme. Une mélancolie doucement bercée par la moiteur et la chaleur. Je retrouve partie de cette sensation curieuse au travers de ce film.
"The Wackness", l'histoire de 2 junkies de génération différente, déprimés vagabonde, une heure trente durant, dans une ville d'un été trop chaud en refaisant le monde de ce qu'ils voudraient et auraient aimé être et avoir. Voilà l’intérêt du film, bien pauvre, dénué souvent de sens, répétitif donc lassant. Chacun a ses "souffrances" qu'ils noient dans "leurs drogues", qu'elles soient musicales, amphétamines, classiques ou alcool. Rien de nouveau à l'horizon. Sujet mille fois traité et ici plutôt maladroit. Kingsley n'apporte rien, Levine encore moins; Du mauvais cinéma. 1.5/5 pas plus. A éviter.
Une comédie légère, simple, un peu philosophique sur la vie et ses tracas a tout ages. Peu être un peu lent et mou, mais avec deux personnages plutôt attachants.
J'ai surtout aimé la bande son principalement du rap américain. Autrement sans plus en ce qui concerne le scénario
Puisque tout le monde descend le film je me sens obligé de le défendre. J'ai trouvé que c'était un bel effort de la part du réalisateur, qui a réussi quelques très bonne séquences (les ventes d'herbe notamment). Il arrive à recréer toute une ambiance et l'atmosphère qui pouvait règner dans le New York des années 90, et en plus la bande son est géniale. Les acteurs sont bons, et à part Kingsley ils font dans le sobre et efficace (et j'aime bien Kingsley en excentrique). Franchement, je ne vois pas ce qu'il vous faut de plus.
J'ai adoré se film la première fois que je l'ai vus il y a 7 ans.Je l'avais sur un de mais disque dur, mais je ne me rappelais plus du nom du film, >< vu que j'ai au minimum 200 films sur mon plus petit disque, et que j'en est 10 allant de 250 a 3 To je désespéré de le retrouvé.^^ Heureusement j’ai eu de la chance en tapent sur Google (psychiatre drogué) MDR. Bref je viens de le retrouvé difficilement et j'ai hâte de le revisionné :)
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