Les quatre enfants de Telma sont les piliers de la mai­son. la petite Marie, Louise, 11 ans, Maël, 12 ans, et Ben­ja­min, le plus grand. Ce der­nier, très tendre, peut être violent quand il n’est pas content ou n’a pas com­pris, seule Telma sait cana­li­ser son éner­gie. Un jour, Jean, le papa, s’en va sans un mot et la mai­son s’écroule. Petit à petit, la vie reprend le des­sus. Jusqu’au retour de Jean…

Un roman acces­sible à tout âge, pour niveau intermédiaire.

Le sujet de ce roman est la vie de famille avec tout ce que cela sous-entend. la coha­bi­ta­tion quo­ti­dienne, affron­ter les dif­fi­cul­tés, les joies et les tris­tesses, mais aussi la sépa­ra­tion conjugale.

Nous avons ici la démons­tra­tion d’un amour immense et incon­di­tion­nel d’une mère pour ses enfants, qui se sacri­fie et renonce à tout pour leur bon­heur. Elle donne ainsi à cha­cun d’eux la pos­si­bi­lité de choi­sir son propre destin.

C’est une belle leçon d’amour, qui se vit au quo­ti­dien. un simple sou­rire peut illu­mi­ner la vie d’un enfant, par­ta­ger ses acti­vi­tés quo­ti­diennes rap­prochent une mère et son enfant.

Mais au final, Telma, la mère, sent “ qu’elle vit sans exis­ter” et elle finit par se sépa­rer de ses enfants, car pour com­men­cer une nou­velle vie, elle doit le faire seule.

Une œuvre pas­sion­nelle et sensible.

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